THOR: GOD OF THUNDER VOL. 4 - THE LAST DAYS OF MIDGARD
I**E
Cartoonishly evil ceos and hints of the future
This volume has two different storylines going on, ones kind of dull and the other is fun but inconsequential. The main plot is Thor facing off against the ridiculous evil super corporation roxxon. I don't think this plot really works, it's mostly the new love interest telling Thor things are too complicated to hit with a hammer. While that's a decent moral for the real worl, it's not very engaging in a comic book. Then everything blows up and asgard leaves earth, so all of it feels kind of mehh. The second, a far superior story as far as I'm concerned, dealt with old king Thor fighting old galactus. It's nice and fun and epic, but nothing really comes of it at the end. The last issue of this series is just foreshadowing and name dropping things that Aaron will do later in his run, which is fine indisposed but feels like a bad ending for this series, selling the next.
B**N
great stuff
I was starting to question if I would continue buying Aaron's run on Thor. For some reason Aaron took a break on volume 3 and a different writer stepped in. I couldn't even finish the book it was so bad. Aaron comes back in Vol 4, and he brings his A game. Old Thor fights Galactus and it ends leading into the storyline that shifts the hammer to a new female Thor which I've been curious about. Great stuff highly recommend just skip Vol 3.
J**R
Awesome conclusion to an awesome run
As much as people say that their favorite part was the King Thor vs Galactus story, I personally loved the Roxxon story. The fact that a business man could threaten the God of thunder is amazing in itself. This whole run was amazing from start to finish, definitely check it out!
L**9
One of the top 3 Thor runs of all time!
Aaron wraps up this run on Thor in perfect form. Luckily for us, Ribic came back to do the art. I won't spoil anything, but there's an epic battle between the future King Thor and an aged Galactus. Ribic created the most amazing design of Galactus ever. All of his designs have been perfect. There's also a bit of the Goddesses of Thunder in this volume as well. After finishing this series up, volume 3 feels like an odd man out. Still a 4 star book, but I can't give less than 5 to volumes 1, 2, and 4. I personally feel it's 2nd only to Simonson's run. My reasoning is because Aaron and Ribic have brought new characters and ideas into the mix to make Thor feel fresh again. I'm a huge fan of the JMS/Coipel run as well, but it involved too much of the Marvel univers at times. I like how Aaron's book felt uniquely Thor. I'm anxious to see what happens with this female Thor story, but very disappointed that this series had to end. Especially hate seeing Ribic off the title. I'd argue he's up there with Kirby and Simonson as one of the best Thor artists.
E**Y
Excellent finish(?) to Thor: God of Thunder!
Thoroughly enjoyed the finish(?) to this storyline. Well-written story and beautiful artwork throughout. Bonuses of Galactus and a touch of Ulik were pleasant developments. Thanks!
K**R
Phenomenal
Full of all the things I've come to love from Thor. Drama, humor, wisdom, and of course battle. A wonderful setup to the Thor that followed and a beautiful read that ties together long lines of thought and lore.
B**H
Thor's last stand!
Another good installment in the Thor saga by Jason Aaron. It also leads into the new status quo for the character and book with that last page. A fun read, although I really didn't love the art this time around.
P**S
Nice
I liked the "Present & Future" theme good story line and now just filling space, more space 3 more. Man
J**Y
Not the best
Both Items had faults one was incorrectly cut and the other had spine damage.As a collector this was very disappointing.
C**I
Thor! la forza può tutto, o quasi.
Cos'è il Destino (no!, non mi riferisco a Von Doom)? ed è davvero immutabile?.Queste ed altre sono le domande poste dalla storia del Thor di Aaron.Il lettore si troverà a confrontarsi, nei panni dell'eroe, con situazioni al di là di ogni immaginazione.Una storia profonda, con un'arte ricca e dura.Ottimo per chi non ha mai letto nulla sulla divinità norrena della Marvel.I vecchi amanti potrebbero storcere il naso forse per quanto riguarda alcune libertà artistiche e sui poteri impiegati dal figlio di Odino.
P**E
La virilité inutile
Ce tome fait suite à The accursed (épisodes 12 à 18) qu'il faut avoir lu avant. Il contient les épisodes 19 à 25, initialement parus en 2014, écrits par Jason Aaron. Esad Ribic a dessiné les épisodes 19 à 24, avec l'aide d'Augustin Alessio pour l'épisode 24. La mise en couleurs a été réalisée par Ive Svorcina pour les épisodes 19 à 24 avec l'aide d'Augustin Alessio pour l'épisode 24. L'épisode 25 comprend des séquences de liaison dessinées par Augustin Alessio & Esad Ribic, une histoire dans le passé (10 pages) dessinée par RM Guera, et une autre histoire dans le passé (10 pages) dessinée par Simon Bisley.-- Épisodes 19 à 24) - Au temps présent, dans les confins de l'espace, Thor fait le constat de nombreuses planètes mortes. Sur Terre, à bord de sa voiture submersible, Rosalind Solomon (surnommée Roz, agente du SHIELD) est en train de suivre un gigantesque sous-marin de Roxxon au milieu des baleines. Elle est vite repérée, et attaquée par des petits vaisseaux plus maniables. Elle doit son salut à l'arrivée providentielle d'un marteau en uru, suivi de son propriétaire Thor.Peu de temps après, Dario Agger prend la tête d'un événement organisé par son entreprise Roxxon, au parc national de Glacier Bay en Alaska. Il indique son entreprise continue d'effectuer des forages pour exploiter des gisements de pétrole, mais qu'également elle a commencé d'autres types d'exploitation. Il présente en particulier un morceau de glace ramené d'Europe, l'une des lunes de Jupiter. Alors que Rosalind Solomon lui demande à quel prix sera vendue cette eau, Thor arrive avec un énorme glacier, qu'il révèle être l'une des montagnes de Jotunheim. Dans le lointain futur, entouré de ses petites filles Atli, Ellisiv et Frigg, le vieux Thor assiste au retour de Galactus sur Midgard.Petit à petit l'oiseau fait son nid, et petit à petit Jason Aaron rapproche ses différents fils narratifs. Le lecteur peut donc voir comment l'histoire de Dario Agger commence à se rapprocher fortement de celle de plusieurs mondes rattaché à Yggdrasil, quel rôle joue Rosalind Solomon, et même effectuer un retour à Broxton dans l'Oklahoma. Bien évidemment, Thor constitue le point de convergence de ces différents fils narratifs, mais en même temps il reste un peu falot. Avec les histoires du jeune Thor dans le passé, le scénariste a montré qu'il s'agit d'un personnage issu d'une époque particulière. Par petites touches, il a rappelé qu'il incarne des valeurs patriarcales, qu'il résout ses problèmes par la force, qu'il participe à entretenir les guerres entre les asgardiens, et d'autres peuples liés à Yggdrasil comme les géants de glace et les trolls. Lorsque le lecteur se dit que c'est une évidence du fait de la nature de ces peuples, il prend également conscience que cette logique fait de Thor un guerrier ayant l'habitude de résoudre les conflits par la guerre. Jason Aaron rappelle également que Thor aime bien festoyer et conter fleurette aux humaines. Du coup lorsqu'il découvre que le futur de la Terre est compromis par l'exploitation des ressources, il se demande sur qui il faut taper pour faire cesser cette situation. La réponse étant plus compliquée que ça, il se retourne vers Rosalind Solomon, biologiste et femme de loi spécialisée dans les questions environnementalistes. Du coup le personnage principal perd l'initiative.Ce n'est pas la première fois que Jason Aaron fait le coup à Thor. Déjà dans le tome précédent, il avait dû se résoudre à agir selon la méthode imposée par le conseil des mondes, expliquée par Freyja, sa propre mère. En prime, Jane Foster évoque la nouvelle conquête de Thor dans son dos, en en parlant avec Freyja. Pour couronner le tout, Freyja souhaite bien du courage à Rosalind Solomon. Plus Thor semble régresser vers sa vraie nature, celle qui est issue de la culture patriarcale des vikings, plus les femmes de son entourage prennent de l'importance. Pour couronner le tout, il se retrouve incapable de reprendre le dessus sur un ennemi qui utilise la loi en se faisant passer pour la victime. Ça ne se passe pas beaucoup mieux pour le Thor du futur qui se voit contraint d'abandonner le champ de bataille face à Galactus, et de laisser ses petites-filles s'en occuper. Décidément l'image du mâle viril et tout puissant en prend un sacré coup.C'est le retour d'Esad Ribic pour ces 6 épisodes et le lecteur observe tout de suite qu'il bénéficie de la mise en couleurs d'Ive Svorcina qui habille ses dessins de manière substantielle et complémentaire. Ce coloriste transforme les dessins lorsqu'ils sont très éthérés, en apportant des informations sur la luminosité et ses fluctuations (sous l'océan), en donnant de la texture aux matériaux (les nuages de poussière sur la Terre dans le futur), en ajoutant des arrière-plans entiers (les montagnes derrière le géant de glace sur Jotunheim), en donnant du volume à des surfaces détourées par un trait fin (les nuages de poussière soulevés par Galactus), en dessinant la matière par des changements de couleurs (le museau du Minotaure). Grâce à lui, les dessins de Ribic perdent leur impression diaphane et inconsistante pour gagner en pouvoir évocateur, sans devenir surchargés de détails pour autant.Ainsi complétées, les qualités des pages d'Esad Ribic ressortent mieux. Cet artiste évite d'utiliser les clichés visuels propres aux superhéros et donne une vision personnelle de Thor, émancipée des auteurs les plus marquants sur le personnage. Il sait rendre compte de la majesté et la taille des environnements comme les dessous de l'océan, les montagnes de Jotunheim, les paysages désolés de la Terre du futur, le laboratoire de Roxxon, les galeries souterraines sous Broxton. Il représente des personnes à la morphologie normale, sauf bien sûr Thor, le Minotaure ou encore les Trolls dotés d'une musculature surdéveloppée. Il réussit à rendre toute sa majesté énigmatique à Galactus. Il donne envie au lecteur de prendre place aux côtés de Rosalind Solomon à bord de sa voiture volante du SHIELD pour pouvoir bénéficier des vues impressionnantes.Pour l'épisode 24, Esad Ribic est aidé par Augustin Alessio dont la personnalité graphique écrase celle de Ribic. Il utilise des couleurs moins vaporeuses que celles de Svorcina, ce qui donne une atmosphère plus sinistre, en cohérence avec les événements qui surviennent et le sort des habitants de Broxton. Ses traits de contour sont plus appuyés, plus marqués, sans être plus épais. De fait les personnages donnent l'impression d'être plus présents, parce qu'ils sont plus sculptés par les couleurs. Du coup ils deviennent un peu plus réalistes et la narration perd en qualité onirique, ce qu'elle gagne en concret. Ribic et Svorcina réalisent les 2 dernières pages qui apportent la conclusion du passage Galactus sur la Terre dans le futur. Jason Aaron poursuit donc la narration de son fil narratif dans le futur, sans que le lecteur ne puisse présager du fait que les 3 Thor se rencontreront à nouveau ou non. Il lit donc ses passages en s'interrogeant sur leur importance dans l'intrigue globale, mais aussi en voyant qu'ils servent au minimum d'épilogue au tome 2, en montrant l'héritage de Gorr, le tueur de dieux.Le lecteur s'attache donc plus au temps présent et aux échecs successifs de Thor. Il apprécie que le scénariste apporte une conclusion à la situation d'Asgard sur Terre, à l'aplomb de la ville de Broxton, positionnement imaginé par Joe Michael Straczynski en 2007, même s'il ne retrouve pas les habitants les emblématiques de cette ville. Il n'en veut pas non plus à Aaron de faire passer Thor au second plan dans sa propre série, car il n'y a pas de personnage qui lui vole la vedette à proprement parler. Il y a une situation complexe qui ne peut pas trouver de résolution par la simple force des poings. Dans le tome précédent, Thor a dû capituler devant la force de la politique, dans ce tome-ci, il ne peut que capituler devant la force des lois.Après 3 tomes passés à faire décoller une intrigue ambitieuse en procédant par morceaux un peu disjoints, Jason Aaron peut enfin profiter du travail accompli, des fondation ainsi posées, alors que les thématiques commencent à apparaître, et que Thor va subir une évolution radicale dans Original Sin (2014) par Jason Aaron & Mike Deodato. 5 étoiles.-- Épisode 25 -Dans le futur, Atli, Ellisiv et Frigg se tiennent dans la bibliothèque des dieux. Elles obéissent à une injonction formulée par leur grand-père Thor et consultent des ouvrages pour en apprendre plus sur leur passé. Le premier évoque les jeunes années de Malekith sur Svartalfheim, le second un combat de Thor contre les géants de glace, s'étant déroulé sur Terre.Encore un épisode consacré à des histoires du passé, mais cette fois-ci elles se rattachent de manière directe à l'intrigue principale. Le lecteur (re)découvre la jeunesse de Malekith dans 10 pages d'une belle noirceur, à la fois pour les dessins très organiques et détaillés de RM Guera, à la fois pour les maltraitances subies par l'elfe noir. Contre toute attente, le scénariste réussit à lui donner de l'épaisseur au point que sa motivation et son caractère destructeur en deviennent crédibles. La deuxième partie dessinée par Simon Bisley est plus cousue de fil blanc puisqu'elle sert à installer un objet au fond de la mer et à évoquer Laufey, l'un des géants les plus connus dans cette mythologie. Les dessins de Bisley sont à l'unisson de Thor, pleins d'emphase, forts en gueule, virils. L'histoire est agréable et dynamique. Les 8 pages de conclusion servent à annoncer les événements à venir, dont une nouvelle porteuse de marteau, au visage masqué. 4 étoiles. The accursedOriginal Sin
M**A
Excelente
Excelente etapa de Thor, muy recomendable.
D**G
👍
Très bon
Trustpilot
2 days ago
3 weeks ago