Magnificent
N**H
Great music, but subpar CD quality
Great musicians, good music but recordings sound a bit harsh and lacking warmth. Not sure if it is due to the original recording or remastering.
A**R
Barry in Trio Setting, Sweet
It’s Lyrical and good background jazz music. Not disjointed bebop. Wanna get laid? Put this CD on.
G**S
Five Stars
love it!
J**.
Prestige Records 1969
Quite a increase in sound quality from his Riverside recordings of the early 1960's. The 4 Harris originals are all very good including the ballad Rouge. A Coleman Hawkins tune and 2 by Charlie Parker are included as well as the standard These Foolish Things on which Barry's playing is commensurate with the title of the album.
A**L
Great used CD
Great used CD, no marks on CD and have had no issues playing the CD.
C**S
Magnificent is an appropriate title
Barry Harris has never followed fashion and has long carried a torch for Bud Powell This album demonstrates that he is unique to himself and that quality defies fashion. It is superb bop piano with the right mixture of old and new charts.The consistently excellent Ron Carter and the lesser known Leroy Williams contribute well to a very enjoyable session. HIGHLY RECOMMENDED.
J**I
truly magnificent
Barry Harris at his best in his prime, at the height of his creativity. His original compositions carry the recording and are full vitality and sensitive artistry. Great arrangements.
W**E
this recital catches one of the great jazz pianists in great form
Recorded at a time when jazz was in the doldrums, commercially and artistically to some extent, this recital catches one of the great jazz pianists in great form. Harris never compromised and there's a wonderful feel of distilled experience on some tricky bop stuff and poised ballads. Like the late Brian Lemon this player had a wonderful touch and evenness which gets you to hear the lithe invention. The trio work well and Carter gets a chance to shine. Dig Leroy Williams too - some lovely brushwork. The company knew how good it was when they titled it.
F**Z
hommage à barry harris (1929-2021)...
Cette session studio par le trio du pianiste Barry Harris est la première que celui-ci a gravée pour le compte du label Prestige. En effet, elle survient juste après deux séances en sextet : Luminescence en 1967 et Bull’s Eye en 1968. Le pianiste est toujours à l'aise dans ce format (piano, contrebasse, batterie). La pépite qu’il signait dix ans plus tôt est alors dans tous les esprits ( Breakin’ it up , un album qui avait ravi le gotha du jazz, à commencer par Bud Powell !). Douze ans plus tard, allait-il nous surprendre autant ? La réponse se trouve dans ces huit titres que compose l’album Magnificent ! , gravé en studio le 25 novembre 1969 et publié l’année suivante. Le jazz bifurque, l'Amérique aussi (les expérimentations électriques de Miles dans In A Silent Way et Bitches Brew , la naissance du label CTI, Easy Rider de Dennis Hopper, « Born to be Wild » des Steppenwolf devenant l'un des tubes de l’année, le rock puis le hard-rock connaissant un succès retentissant...). Mais Barry Harris ne se laisse pas impressionner. Il ne croit qu'au Bop et au jazz tout acoustique. Peu lui importent les révolutions musicales ici ou ailleurs. Alors, « un conservateur », le Barry ? Disons qu'il préfère rester fidèle à l'esthétique Bop. Indécrottable. De la mode, il s’en moque pas mal. Et si être « conservateur », c’est jouer de cette manière-là, c'est-à-dire avec autant de talent, alors qu'importe ! Quand Ira Gitler lui demande (voir les notes du livret) ce qu'il ressent quinze ans après la mort de Charlie Parker, sa réponse est laconique mais sans détour : « Therapeutic » (elle a des vertus thérapeutiques). La musique de Barry Harris suit donc la même trajectoire : dans la continuité joyeuse de ce que jouait Birdie quinze ou vingt ans plus tôt, sans oublier Bud Powell décédé trois ans avant cet enregistrement. Et pas étonnant, si quelques jours après cette séance studio, Barry Harris se retrouve à jouer au Village Vanguard, juste après un concert de Thelonious Monk (lire notes de livret pour plus de détails).Comme d’habitude, sa musique est très énergique et intrinsèquement « traditionnelle » (entendez par là un jazz solide, bien calibré et très accès sur la mélodie avec une bonne dose de swing et d'improvisation). Mais ça n'est pas un jazz conservateur dans le sens où l'entendait par exemple Charles Mingus quand celui-ci dénigrait la politique rigide et frileuse d’un festival (écoutez sa réaction dans le magnifique Newport Rebels enregistré en novembre 1960). Mingus ne visera jamais Barry Harris. Toujours est-il qu'au bout de 40 minutes (durée de la galette), on est étonné que ça se termine déjà ! Pour les admirateurs du pianiste, pas de grande surprise cela dit, même si des pianistes comme Barry Harris, ça ne court pas les rues. Disons qu'on tient là un « grand disque » de jazz et que celui-ci, dans la « formule reine » (le trio), dépasse allègrement une kyrielle d'albums produits aujourd’hui à grands renforts de pub. Rares en effet sont les pianistes mêlant à leur technique autant d’émotions et de beauté. Bref, son jeu et son interprétation font non seulement du bien grâce à des mélodies bien choisies, mais il y a aussi la puissance rythmique du phrasé de Harris qui nous fait côtoyer la quintessence de ce qu'on appelle l'Art du Trio. Autrement dit, on a là le condensé de ce que « Dr Harris » a toujours su faire : un jazz raffiné et un Bop dynamique. « Musicien pour musiciens », comme on dit dans le jargon, notre artiste est un esthète incomparable, on ne le répètera jamais assez. Et pour qui ne le connaîtrait pas, cet album est une bonne porte d’entrée en la matière (même si pour ma part, je conseillerai d’abord Breakin’ it up mentionné plus haut). On pourra également savourer quelques concerts qui circulent sur Youtube. Rappelons enfin que Barry Harris, né en 1929 à Detroit vient de décéder (décembre 2021). Il aura eu une carrière fantastique. Vraiment.Sa réputation décolle littéralement à la fin des années 50 dès lors qu’il s’établit à New-York (Big Apple, the capital of jazz). « Disciple » de Bud Powell, et perpétuant la tradition du bop d’une manière très personnelle (à la technique, il y met beaucoup de « feeling »), Barry Harris joue avec une rigueur qui laisse toujours pantois. Il joue surtout avec les meilleurs musiciens (Le pianiste dans More Power de Dexter Gordon, c'est lui ! Le pianiste dans Tune-up & Constellations de Sonny Stitt, c'est lui ! Le pianiste dans The Sidewinder de Lee Morgan, c'est encore lui !). Très vite, il acquiert une réputation et un respect que jalouseraient pas mal de musiciens aujourd’hui. Superbement entouré pour la circonstance ( Ron Carter à la contrebasse et Leroy Williams à la batterie), notre maître du clavier est comme un poisson dans l’eau ! Les trois musiciens jouent avec une belle émulation et un plaisir renouvelé. Ron Carter venait de quitter Miles (souvenez-vous du second grand quintette avec Herbie Hancock, Tony Williams et Wayne Shorter). Quant à Leroy Williams, il était déjà le batteur de Jack De Johnette quand celui-ci était pianiste ! Dans le répertoire, on notera une composition de Coleman Hawkins surnommé « The Bean ». Le saxophoniste et ancien employeur du pianiste, s’il est connu pour son interprétation historique de « Body And Soul », il l’est un peu moins pour quelques partitions qu’il a signées, dont ce « Bean and The Boys » en ouverture... Un thème plein de panache. On soulignera également une superbe version de « These Foolish Things » et l’interprétation de deux compositions de Charlie Parker (« Dexterity » et « Ah-Leu-Cha ») ainsi que quelques compositions personnelles dont un « Just Open your Heart » étonnant avec une belle intro à la Monk, ou encore « Sundance », « Rouge » et « You Sweet and Fancy Lady ». Bref, un joli petit programme pour tout amateurs de jazz. Et maintenant, vous pouvez vuter ou ignorer ce commentaire, à votre guise. LuminescenceBull’s EyeBreakin’ it upMagnificent !In A Silent WayBitches BrewEasy RiderThelonious MonkNewport RebelsMore PowerTune-up & ConstellationsThe SidewinderRon CarterLeroy WilliamsColeman HawkinsCharlie Parker
G**A
"Piano trio playing doesn't get better than this"
Magnificent (Pr-7733) Barry Harris, einer der treuesten Recken des Bebop, der in dem Idiom Charlie Parker's und Bud Powell's seine Heimat gefunden hatte, spielte 1969 für Prestige dieses Album ein. 1969 mußte das dem reinen Bop-Ideal verpflichtete Spiel dreier akustischer Instrumente seltsam außerhalb der Zeit gewirkt haben, heute, 45 Jahre später, ist es einfach nur begeisternd. Dieses Trio (außer Harris noch der geniale Ron Carter am Bass und Leroy Williams am Schlagzeug) spielt außerordentlich kohärent, insbesondere zwischen Harris und Carter funktioniert es prima, und Harris` musikalischer Ideenreichtum scheint unerschöpflich.Schon der Beginn - Coleman Hawkins` "Bean and the Boys" - ist ein Wirbelsturm, den Barry Harris da am Piano entfesselt, unterlegt von Ron Carter's virtuosem Bass und Leroy Williams cymbal-orientiertem Schlagzeug. Sechseinhalb Minuten, an deren Ende man einigermaßen atemlos zurückbleibt.Natürlich und wie erwartet gibt es Bebop-Standards wie "Ah-Leu"Cha" und "Dexterity", aber auch nicht weniger als drei schöne Harris Originale (darunter "You Sweet and Fancy Lady", da spielt Leroy Williams mit dem Besen, Brushes in 1969!!!). Und last, but not least, ein unsterbliches "These Foolish Things Remind Me of You", in den Balladen zeigt sich der Meister.Barry Harris hat viele gute Alben eingespielt, das hier zählt für mich zu seinen Besten. Oder um den CD-Text zu zitieren: "Piano trio playing doesn't get better than this." Dem stimme ich voll und ganz zu. Magnificent (Pr-7733)
M**N
Listen hard
Listen hard and you will be rewarded. I say this as it is so easy for the piano trio to become merely something pleasant in the background.
K**N
パウエル直系のアルバムを聴いてほしい
パウエル直系のピアニスト、バリー・ハリスはもう90歳ぐらいのはずだが、ウエブサイトによると、毎週火曜日にクリニックをやっているらしい。すごいことである。ハンク・ジョーンズ亡き後、パウエル派のピアニストとしては最後の一人だろう。そのハリスが、1969年にリリースしたのがこのアルバムだ。サイドメンは、ロン・カーター(b)、リロイ・ウイリアムス(ds)の当時新進気鋭の若手ミュージシャン。1曲目「BEAN and The Boys」で爽快に吹っ飛ばす!挽きながらなにやらしきりにメロディをうなっている!この曲だけでもこのアルバムを買う価値はある。それほどすばらしい。#5や#8など、アップテンポの曲では、そのノリでついつい唸ってしまうのらしい。#1では、曲の終了後「ふ〜」というようなため息も聞かれ、ほほえましい。#7のようなバラードでも、甘くならずに、さらっと弾きこなす。そこがBe−BopのBe−Bopたるゆえんである。パウエル派とひとくくりにしないで、偉大なジャズピアニストの作品として強くお勧めする次第。
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